À l’origine de l’élaboration de ce collectif était la nécessité de créer un cours hebdomadaire
pour compléter la scène parisienne de tango Queer *
En septembre 2016, nous nous préparions à vivre la première rentrée et nous n’imaginions pas
une seule seconde la tournure que ce projet allait prendre…
Au fil des mois, un groupé soudé, amical et solidaire s’est formé.
Les élèves étaient particulièrement curieux.ses, concentré.es et investi.es, drôles et attachant.es.
Les professeur.es ont su enrichir la transmission grâce à la complémentarité de leurs savoir-faire,
la coordination de leurs compétences et la diversité de leurs personnalités.
Les notions de genre homme / femme ont été mises de côté au profit d’un approfondissement des notions de rôles Leader et Follower,
et les échanges nés de ces rencontres ont rendu l’aventure passionnante, pour nous touTEs.
Aujourd’hui, nous nous retrouvons régulièrement en Milonga en plus des cours hebdomadaires.
Et voir ces « jeunes » élèves danser les yeux remplis d’étoiles est un vrai bonheur.
L’An 3 ouvre la porte à un collectif de professeur.es & d’élèves,
prêt à accueillir et accompagner les danseuses et danseurs de demain.
Découvrez ci-dessous les témoignages de celles et ceux qui ont participé à l’élaboration de ce Collectif Queer Tangolibero.
Céline Tiberghien, coordinatrice et professeure.
* Le Tango Queer à Paris propose une milonga mensuelle « Todo es Amor » et accueille régulièrement des intervenant.es du monde entier.
Blog : Tango Queer à Paris.
Le Festival International « La Vie en Rose » a lieu une fois par an et propose Workshops, Milongas, Citywalk, Conférences, Shows..
Site : La Vie en Rose
Quand le ressenti des élèves…
« j’ai découvert un collectif rempli d’amour et de bienveillance »
J’étais venue simplement pour apprendre à danser à deux, et j’ai découvert un collectif rempli d’amour et de bienveillance, tant de la part de l’équipe de professeur-e-s que des élèves.
Les sentiments d’hésitation et les craintes de ne pas être à la hauteur se sont vite envolées pour laisser place à une pratique devenue addictive. Une nouvelle passion propulsée par une discipline incroyablement prenante mais aussi par une nouvelle communauté de personnes que je suis toujours heureuse de retrouver.
Merci TangoLibero pour votre approche humaine et sensorielle, bien loin de la course à la performance qu’on peut parfois retrouver dans le milieu de la danse.
Maëlle
« cette idée un peu perturbante d’être leader avec mon 1,50 m et mes 46 kgs »
Au départ, un désir déjà pas mal ancien, mais trop lié à des souvenirs tristes de musiques nostalgiques, écoutées dans des « chambres de bonnes », auprès de camarades en exil, trop lié à des manifestations contre la dictature et la coupe du monde de foot en Argentine, et aux rassemblements hebdomadaires devant l’ambassade dans une petite rue du XVIe arrondissement aux côtés d’Yves Montand (!) pendant que des mères tournaient sur la Place de Mai… Ne cherchez pas : c’était en 78 (deux ans après le coup d’état de Videla.)
Un peu d’histoire trop ancienne je sais pour nombre d’entre vous. J’avais autour de 20 ans. Et oui, je commence le tango passé 60 balais si ça ce n’est pas queer alors ! A bas les normes, les genres, les âges et les barrières stupides !Le désir de cette danse m’est resté mais, mêlé à l’image de machos gominés aux lourds parfums d’après-rasage et aux images rejetées de femmes trop moulées dans des robes fendues trop haut. D’autres vies, d’autres envies l’ont remisé.
Les mères de la Place de Mai sont devenues grands-mères, le temps a émoussé les souvenirs et ce désir de tango m’est revenu il y a peu. Mais je n’ai trouvé que des cours où il fallait s’inscrire en couple. Le « vrai » couple : un homme et une femme. L’homme qui guide et la femme qui suit.
Alors non vraiment ! Pas 40 ans de féminisme pour en arriver là ! Même pour danser. Même par jeu…
Puis, par hasard, une petite annonce de Yagg qui proposait de bousculer tout cela. Une vidéo de Céline. Puis de Céline et Chanelle. Une recherche rapide sur le tango queer. D’autres vidéos…
L’inscription et le doute de pouvoir profiter de ma trouvaille car trop de monde sur les listes…
Puis le premier cours. Une appréhension. La découverte heureuse de pouvoir vraiment danser en jean et en baskets. Le plaisir d’apprendre les deux rôles avec l’idée un peu perturbante quand même d’être leader avec mon 1,50 m et mes 46 kgs.
Et au fil des semaines, de découvertes en découvertes, beaucoup de plaisir, un léger découragement parfois au début, à peine, juste l’envie que ça aille plus vite, l’impatience des débutantes de pouvoir faire des figures compliquées.
Mais la belle équipe de professeur.e.s, patient.e.s et pédagogues, qui m’apprennent alors le plaisir de ce qui peut sembler peu et qui est source d’un vrai bonheur. La musique qui porte simplement, sans urgence ni artifices.
Ressentir le plaisir de la marche, un pas qui suit la musique, un ancrage réussi dans le sol, une énergie communicative, un croisé posé dans le rythme, un ocho dans le tempo sans bouger les épaules (ou à peine)…
Et avec moi ce n’était pas gagné : j’entends la musique avec des boules Quies à travers un mur de béton (ben oui c’était ça), j’ai un sens du rythme toujours en attente dans la pièce à côté et je me trouve une décontraction physique de manche à balai. Je peux bien le dire maintenant que tout le monde a pu s’en rendre compte.
Merci d’avoir pu apprendre avec vous
Céline bien sûr, la première dans ce temps de la découverte, avec ton énergie joyeuse et communicative, et Vincent avec sa douceur (tu m’intimidais tant de trop bien danser, d’être trop souple, trop léger, trop…), Olivier tellement patient pédagogue, l’irruption un peu bousculatoire et géniale de Raffaella et du tango nuevo (allez les tigresses dansez !), l’incomparable sourire de Kevin, sa délicatesse et ses murmures encourageants, la gentillesse de Chanelle, la présence rassurante de Peggy.
Et vous les partenaires de mes premiers pas hésitants, de mes contretemps involontaires, de toutes les fois où j’ai écrasé vos pieds, où je ne comprenais pas vos indications silencieuses (merci Donald de préciser à voix haute ce qu’il me faut faire)
Merci d’avoir appris à coups de compliments dans cette générosité, cette vraie bienveillance et ce respect mutuel. Et ce n’est pas de la pub avec des notions galvaudées, c’est des vrais mots pour des vrais gens.
Merci pour ces milongas où vous nous avez accompagné.e.s et encouragé.e.s et invité.e.s à danser.
Merci Olivier pour la rue du Cygne.
(on se croirait aux Césars avec mes mercis !)
Céline tu avais raison : le tango a changé ma vie. Il est souvent dans mes écouteurs, il m’a aidé à passer la dépression habituelle de l’hiver pour ne pas être absente à un seul cours. Tout au long de cette année, j’ai attendu avec impatience le jeudi soir (et ensuite le mercredi aussi !), j’ai changé l’ordre de mes priorités d’emploi du temps, puis j’ai bloqué aussi des vendredis soirs et des dimanches après-midis.
Dominique
« une approche ouverte et libre des rôles »
Je voulais apprendre à danser le tango, différemment ; je voulais apprendre à suivre. Après avoir beaucoup cherché, j’ai découvert le collectif Tangolibero, et aujourd’hui, je peux dire que mon rêve est en passe de se réaliser.
Une offre unique à Paris, pour qui, comme moi, souhaite se consacrer à la pratique du tango argentin, dans une approche ouverte et libre des rôles. Un enseignement cohérent et varié, grâce à l’intervention de plusieurs professeurs au cours de différents cycles. Une atmosphère des plus chaleureuses, faite de respect, de bienveillance, d’amitié et d’affection.
Je veux dire merci à toute l’équipe Tangolibero pour cette formidable expérience, que j’aurai plaisir à prolonger l’an prochain et à partager de nouveau, je l’espère, avec le plus grand nombre.
Valentin
« au début, je n’y croyais pas trop »
Alors, le tango …au début, je n’y croyais pas trop.
Pourtant, j’avais toujours rêvé de pouvoir le danser… mais, les danses de couple: je ne pouvais tout simplement pas. Je ne comprenais pas ce qu’il fallait faire avec mes pieds, mes lombaires tout ça ….puis ça m’angoissait grave !
C’est vrai, je ne pouvais pas suivre quelqu’un dont je ne connaissais pas le prénom ou le type de petit déjeuner qu’il prenait 😉 …
Mais un jour TANGOLIBERO est apparu sur mon chemin et sa perspective queer m’a attirée !
Danser avec qui l’on veut … mais aussi pouvoir s’envisager dans les deux positions/rôles : celle du « leader » et du « follower ».
Cette perspective m’a amené à oublier mes considérations passées sur la danse à deux et mes soi-disant incapacités . .. en me rendant compte que les deux rôles avaient faim de qualités similaires : pas celle de deviner si son partenaire est plutôt œuf sur le plat ou pain ou chocolat mais bien celle de développer une écoute et confiance fine et sensible de l’autre et de soi puis d’apprendre à développer un axe autonome.. ( qu’y a -t-il de plus important dans la vie et dans les relations, non ?)
Pour tout cela, MERCI à TANGOLIBERO et son équipe de SUPER professeurs ( faut bien avouer) et de SUPER élèves ( faut aussi avouer) qui a été mon empowerment de l’année !
C’est beau d’apprendre à se tenir debout, à mettre un pied devant l’autre et le faire à deux. Et puis, c’est dingue d’apprendre à déplacer des koalas (pour comprendre en quoi cela consiste, une seule solution : osez! )
Moi je dis :
TANGOLIBERO pour t.o.u.s.t.e.s.
Caroline
« je ne me suis pas ennuyé une seule seconde »
C’est parce qu’il était écrit queer que j’ai rejoint ce cours. Je me suis dit que ça aller être plein de gens différents et qu’on allait s’amuser. Et, j’ai découvert le tango argentin. Je ne crois pas qu’il puisse y avoir meilleur moyen de l’apprendre. La formule est excellente. Participer à la première année de lancement fut pour moi un privilège. Je dirais juste que je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, que ce fut intense et que comme nous l’avait annoncé Céline, ça a changé « un peu » ma vie.
Donald
« apprendre les deux rôles permet vraiment de saisir l’ensemble de la danse »
Commencer le Tango Queer a été pour moi une révélation. D’abord parce que j’ai découvert un cadre idéal pour apprendre et danser avec ma compagne.
Pour ce qui est de la danse, j’avais fait auparavant plusieurs danses à deux (rock, salsa, etc.) où j’avais suivi sans me poser de questions. Mais apprendre les deux rôles permet vraiment de saisir l’ensemble de la danse, c’est en suivant qu’on découvre les qualités nécessaires pour bien guider, et en guidant qu’on perçoit ce qu’est un.e bon.ne « follower ». Et quel plaisir de guider sur la piste de danse !
Les professeurs sont hyper pro, nous ont fait avancer très vite (je n’en reviens pas encore de savoir guider et suivre après ces quelques mois) et surtout ont su faire régner une ambiance particulièrement accueillante, bienveillante… libre ! Sur ce plan encore je croyais que tout allait bien ailleurs… jusqu’à ce que je découvre Tangolibero ! Ainsi chacun a l’occasion de s’exprimer par la danse, indépendamment de son genre, et chaque danse peut être une vraie rencontre !
Merci Tango libero et à l’année prochaine !!
Manon
« j’étais bien mal assuré, car je n’avais jamais dansé »
Il y a quelques semaines, je rejoignais le groupe en cours d’année pour mes premiers pas de tango.
J’étais bien mal assuré, car je n’avais jamais dansé (pardon les amis d’avoir maladroitement écrasé vos orteils…).
L’inquiétude s’est très vite dissipée : la connexion avec tous les Tangueras et Tangueros est chaque fois singulièrement chaleureuse, la bienveillance qui anime le groupe est merveilleuse, les encouragements sont nombreux et les progrès solides.
Merci à tous mes partenaires de leur patience et de leur indulgence, en particulier merci à Vincent, Olivier et Kevin pour leur sens de la pédagogie, pleine de bonne humeur, de passion et de douceur.
Chers Tangueras et Tangueros Libres, vous êtes un vrai rayon de soleil. Mille mercis d’illuminer ces soirées à danser ensemble. Mille mercis de réchauffer nos âmes.
Christophe
« une belle aventure humaine »
Cette année, j’ai eu le bonheur de découvrir le tango Queer. Déjà intriguée par le tango et désirant m’affranchir des rôles hétéronormés, j’ai été tout de suite séduite. Dès les premiers cours, le professeur bienveillant veille à la cohésion de groupe. Chaque mois un nouveau thème est enseigné par un professeur différent, ce qui permet de ne jamais s’ennuyer. Cette année de tango, c’est bien sûr des bases de tango pour danser en milonga, mais aussi une belle aventure humaine, une découverte d’une partie de moi-même et quelques amis en plus.
Un immense merci à tous les professeurs pour leur gentillesse, leur chaleur humaine, leur soutien.
Camille
« une source d’énergie bien plus puissante que la vitamine D »
Je n’ai pas de mots pour décrire l’expérience qu’a été pour moi cette année d’initiation au tango, dans le cadre joyeusement queer mis en place par Céline et ses acolytes de Tangolibero !
Je n’avais jamais pris aucun cours de danse de ma vie, je n’avais jamais pratiqué aucun sport collectif en club, et je dois avouer qu’en me dirigeant vers la rue Chabrol, pour la première séance, j’étais plus stressé encore que pour tous mes examens et concours réunis. Finalement le cours a commencé, et c’en était instantanément terminé du stress et des tracasseries en tous genres : le tango venait de libérer son énergie (si si, seulement même après quelques pas timides !) et de faire marcher sur moi – sur nous ! – sa magie !
Le mot qui me viendrait le premier à l’esprit, pour décrire ce cours, ce serait « bienveillance ». Mais il faudrait ajouter aussi : écoute, jeu, précision, intensité, complicité, tendresse, et j’en passe ! Ah oui, et j’aurais dû dire, pour parler de nos professeur-e-s : bienveillance et professionnalisme.
Autant dire que retrouver le groupe des tangueras et tangueros libres et reprendre les abrazos était chaque semaine une nouvelle joie. Le plus extraordinaire se passait toutefois au niveau du corps, puisque, de séance en séance, quelque chose se développait en nous qui ressemblait à un sixième sens : comme une capacité d’écoute mais qui viendrait du buste, de l’intérieur, et finalement de tout le corps. Un truc quasi mystique, vraiment (mais d’un mysticisme élémentaire, matérialiste, charnel et enchanté) qui permet peu à peu de laisser place à l’improvisation : on ne sait pas bien ce qui s’est passé, mais voilà qu’un jour, au bout de quelques séances, on parvient à suivre l’autre ou à le/la guider de manière fluide, souple et même harmonieuse, sans que nul mot ne soit dit.
Ça ne semble peut-être rien pour un-e danseur-seuse, mais pour le débutant que j’étais, cela relevait vraiment du miracle. Plus incroyable encore que la transsubstantiation ! Et puis voilà que très vite, on se retrouve seul chez soi à enchaîner des pas de tango, à faire des abrazos dans le vide, à se cogner parfois contre les murs, mais pas grave, on reprend ses esprits, on recommence, on se remet en abrazo, toujours dans le vide, on repart, on rêve de bals, de milongas, on voudrait avoir plus de temps pour danser sans cesse.
Bref : le tango ce fut pour moi, tout à la fois, une expérience corporelle et intellectuelle d’un genre nouveau, une nouvelle attention portée au corps (au mien bien sûr, mais aussi à celui de l’autre), une source d’énergie bien plus puissante que la vitamine D, le guarana ou que sais-je encore (vraiment, après le tango : oubliée la fatigue du jour), de la confiance en soi, des rencontres inoubliables, et puis, en dehors des cours, de très bons moments passés avec nos professeur-e-s et camarades. C’est pourquoi, si j’étais président de la République, je nommerais Céline à la tête du Ministère du Tango Queer et de la Santé Cosmique, et je lui donnerai carte blanche pour redonner courage à la nation (que dis-je : au monde entier!).
Romain
« on vient aux cours de Tangolibero comme on est »
On vient aux cours de Tangolibero comme on est : bras, jambes, tête, pieds… Avec les bienveillants conseils de nos toujours très gentils aînés dans cette danse, quelques mirandas et connexions plus tard, nous voilà transporté comme par magie avec notre partenaire du moment vers les plaisirs et les mystères du Tango…
Marc
… fait écho à celui des professeurs
« j’ai rarement travaillé avec un groupe qui dégageait une telle énergie positive »
Je ne sais pas à quoi c’est dû – l’approche pédagogique qui demande à chacunE d’apprendre à guider ou suivre, l’aspect queer qui nous libère de toute question de genre et permet à tout le monde de danser avec tout le monde, ou le modèle collectif qui ouvre l’esprit des élèves à des pédagogies différentes à l’arrivée de chaque nouveau et nouvelle professeur – mais j’ai rarement travaillé avec un groupe qui dégageait une telle énergie positive. Le jeudi soir devient plus festif que le weekend, chaque cours un rendez-vous que j’attends avec impatience…
Kevin
« un bonheur de voir les débutants s’épanouir dans le tango »
Une expérience enrichissante et un bonheur d’accompagner les débutants et de les voir s’épanouir dans le Tango.
Peggy
« pourvu que la famille s’agrandisse »
Je me réjouis cette année d’avoir participé à l’aventure du collectif tango libero comme enseignant.
C’est une belle réussite à mes yeux de voir nos cherEs élèves arborant de beaux sourires et voulant aller danser un maximum dans les milongas.
Je suis ému de voir leurs pas se transformer en une Belle danse, colorée de liberté, de diversité et de bienveillance! Pourvu que la famille s’agrandisse ! Je dis oui pour l’année prochaine !
Vincent
« ça ouvre une meilleure compréhension de l’autre »
C’est génial d’apprendre aux élèves à suivre et à guider en même temps. Ça ouvre une meilleure compréhension de l’autre, ça offre chacun.e a le droit de s’exprimer comme il.elle préfère, d’être ce qu’il.elle est sans devoir se soumettre à des codes moyenâgeux qui relèguent les personnes dans des rôles genrés qui créent des discriminations. J’ai trouvé dans ce cours de la bienveillance et de la solidarité, et des élèves trop choux !!
Raffaella
« touTEs étaient vraiment désireux.ses d’apprendre »
J’ai été très touchée par la cohésion de groupe qui s’est très vite installée et par l’enthousiasme des élèves.
La transmission m’a paru évidente car touTes étaient vraiment désireux.ses d’apprendre : cet investissement et la dynamique de groupe a amplement facilité la transmission.
Ça a été un vrai plaisir.
Chanelle
Les infos pour la saison 2017/18, c’est ici : tangolibero
Adresse mail : collectif.tangolibero@gmail.com